LA COMMUNICATION (3ème partie)

OBJECTIFS ET ENJEUX DE LA COMMUNICATION
(3ème partie)

Les rétroactions =
Il ne peut pas ne pas y avoir de relation et la relation qui existe entre les locuteurs va donner sens au message.
Dès que l'interaction est engagée, des rétroactions se mettent en oeuvre, renvoyant à l'émetteur des réactions à son message. Le message verbal ou non, renvoyé par réaction par le récepteur, à l'émetteur. Lorsqu'il existe on parle de communication bidirectionnelle.
On peut distinguer deux formes de rétroactions =
. la rétroaction négative amoindrit la communication, tend à la maintenir stable et équilibrée.
. la rétroaction positive conduit à accentuer un phénomène avec un effet possible de boule de neige (hausse de la tension entre les communicants et énervement entre deux individus).
Ces deux formes de rétroactions (+ et -) assurent la réception du message. Le troisième cas, dans lequel la rétroaction n'est pas exprimée (néant), crée un frein à la communication : on ne sait même pas si le message a été reçu ou pas.
Les mots "positif et négatif" doivent être pris dans le sens "qui montre la présence ou l'absence de l'élément ou de l'effet recherché".
Il faut savoir que le chien ne peut entrer en relation qu'avec un seul "récepteur" à la fois, la communication ne s'établit qu'avec celui qui lui renvoie une rétroaction soit positive, soit négative. Les pressions exercées en quantité peuvent donc provoquer la coupure du processus de communication., le message ne pouvant alors parvenir jusqu'au récepteur, dès lors, celui ci n'en est plus un. L'émetteur a alors la possibilité d'entrer en relation avec un autre sujet lequel devient, par le fait même, le "nouveau" récepteur.
C'est donc dire que, au moment de la communication, le besoin de chacun peut être différent ou le même.
Plus le langage est élaboré plus le sujet est en mesure de communiquer adéquatement avec son environnement.

TENTER D'IMPOSER MON BESOIN sans d'abord passer par le processus de communication du chien risque fort quelque incident diplomatique, car, à vrai dire, LE CHIEN N'A VRAIMENT AUCUN BESOIN .............. DE MON BESOIN.
D. CHRETIEN.



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